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Plan Local d’Urbanisme (nouveau projet)
L’AVENIR DE FONTAINEBLEAU-AVON ENTRE VOS MAINS
Exprimez-vous lors de l’enquête publique ouverte jusqu’au 28 avril
I -- Observations sur le PLU ( dossier arrêté le 2 juillet 2009 ) déposées à l’enquête publique
Préambule
Concertation, information
Le CDAS déplore le peu d’informations auprès des concitoyens.
Seulement une petite plaquette en novembre 2009 : « les clés de compréhension du Plan Local d’Urbanisme », pas de réunion publique, pas d’exposition comme le font la très grande majorité des municipalités, aucune information par voix de presse alors que les projets de ville qui se réaliseront dans de nombreuses années ont fait l’objet de plusieurs parutions.
Le CDAS déplore également une concertation réduite au minimum avec les associations et les personnes qualifiées, en effet si elles ont bien été conviées à des réunions d’information au début du processus, il n’y a eu aucune présentation du projet final.
Règlement de ZPPAUP
Le CDAS déplore que la ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager) promise n’ait pas été adoptée avant le Plan Local d’Urbanisme puisqu’elle s’impose à lui.
I -- Surdensification
Globalement, les principales lignes du projet actuel confirment une volonté de surdensification urbaine puisqu’il permettrait une augmentation d’un tiers de la population de l’agglomération Fontainebleau-Avon.
Or il est évident que l’agglomération ne pourrait pas supporter une telle densification : accès, circulation, stationnement, équipements publics sont autant d’éléments qui s’opposent à ce projet . Avec un espace urbain circonscrit dans la forêt classée, une importance touristique et culturelle incontestée, Fontainebleau-Avon mérite mieux que les critères retenus pour d’autres villes de la grande couronne (si tant est qu’ils soient acceptés par leurs représentants soucieux de la qualité de vie).
Concernant l’accroissement de population, il est donné comme souhaitable que l’agglomération retrouve environ 33000 habitants mais il est aussi précisé que la population ne devra pas dépasser à terme 40000 habitants pour l’agglomération comparé au 30000 actuels, ce qui montre clairement que ce chiffre pourrait être atteint.
Cette possibilité de densification élevée est en contradiction avec le rapport de présentation qui indique, en préambule du chapitre IV :
« les changements souhaités ont porté principalement sur : une meilleure cohérence du dispositif réglementaire, de nature à éviter une trop forte densification de l’agglomération »
Par ailleurs en ce qui concerne les équipements, l’agglomération ne dispose actuellement que d’une station d’épuration hors normes et sous-dimensionnée pour la population actuelle (à noter qu’elle dessert également Samois). Certes une nouvelle station est annoncée pour fin 2011, mais de telles annonces sont régulières depuis 10 ans,
en conséquence le nouveau PLU doit être conditionné à la mise en fonctionnement d’une nouvelle station d’épuration
.
En conclusion le CDAS s’oppose à une surdensification excessive et demande que le PLU indique que la population sera contenue entre 32000 et 34000 habitants.
II -- Modification des surfaces constructibles
II.A Zone UBa
« zone de maisons…disposant de cœurs d’îlot occupés par des jardins » : L’emprise au sol passe de 30 à 40% et le COS de 0.7 n’est plus limité (NR). La limite est donc la combinaison de l’emprise au sol et des hauteurs (9/15m soit 4 niveaux) donc environ 3,5 fois la surface au sol de SHON (surface hors oeuvre nette), ce qui correspond à un COS d’environ 1,4 donc un doublement des surfaces autorisées : une augmentation disproportionnée par rapport aux objectifs du rapport de présentation §IV.2.2.2 : «… permettre l’optimisation des bâtiments existants (aménagement de combles) » .
Le COS des zones UBa doit être limité à 1.
II.B Zone UCa2
(non défini précédemment) : «quartier …maisons bourgeoises et de villas avec petits collectifs » appliqué au quartier qui va des Provençaux à La Haute Bercelle auparavant en zone UCc (« secteur pavillonnaire de faible densité »). La typologie du quartier correspond mieux à la définition actuelle, mais elle entraîne une augmentation de COS de 0,4 à 0,6
Un COS de 0,5 nous paraît être approprié à ce secteur
.
III -- Changement de zone pour certains secteurs
III.A Rue Royale côté impair
(du château à la rue Saint Merry) passe de Ubb en Uba soit une augmentation de COS possible de 0,5 à environ 1,4.
Par contre le côté pair de cette rue (du château à la rue Saint Honoré) qui était en UA ( centre urbain) revient en UBa
Ces classements paraissent donc justifiés par la nature du bâti et la situation actuelle.
III.B Les Pleus/Carrefour des Maréchaux
le secteur UAd défini comme « correspondant aux anciens quartiers des Pleus … » est étendu au carrefour des Maréchaux jusqu’aux immeubles Pasteur (noter que le COS passe de 0,6 à plus de 1 ), cette évolution ( en orange sur la figure 1) n’est justifiée nulle part,
quelle en est la raison ?
Ce secteur était préalablement en zone UCa (« quartiers de maisons bourgeoises et villas avec présence de petits collectifs ») ce qui correspond parfaitement à sa typologie.
Sur le plan figure 1 nous avons reporté en jaune le quartier des Pleus tel qu’il est indiqué dans le cadastre de 1848 ( figure 2 ), on notera que le secteur des Pleus dans l’ancien POS dépassait déjà très largement le périmètre ancien.
Cette extension est donc complètement contraire à la définition de la zone et n’est pas justifiée.
Le secteur des Pleus ne doit pas être étendu, la zone en orange (figure 1) doit rester en secteur Uca.
Dans le même quartier
, le quadrilatère des Sources, impasse de l’Aqueduc, où affleurent les eaux courantes, classé ND (non constructible) dans tous les POS précédents passe en zone UC « Espace Vert Protégé », protection trop facilement contournable. Cette zone d’où part l’aqueduc François 1er qui alimente les bassins du château a, de tous temps, été une entité bien identifiée et protégée (voir figures 1 et 2, zone colorée en vert et photo figure 2) La seule protection Espace Vert Protégé Strict, assez facilement contournable, est insuffisante .
Nous demandons que ce quadrilatère des Sources reste en ND.
III.B Rue du Mont Ussy
un petit secteur passe en UDa (au lieu de UCa ) avec augmentation du COS, pour quelle raison : favoriser l’acheteur d’un terrain municipal au détriment du voisinage? Ce positionnement Uda défini comme « secteur principalement résidentiel correspondant aux ensembles d’habitat collectif de ..Fontainebleau » est injustifié si l’on considère que ce secteur ne comporte qu’un seul habitat collectif et que les équipements, école et gymnase, maison des associations et 4 parcelles n’ont aucune vocation à devenir des zones d’habitat collectif.
Ce secteur doit rester Uca.
III.C Quartier Lagorsse/Joffre /Foch :
précédemment en UCa (« quartiers de maisons bourgeoises et villas avec présence de petits collectifs ») passe en Ubb (« parcellaire large, nombreux hôtels »), ce qui paraît justifié III.
Laboratoire de biologie végétale (Paris VII)
, Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique, deviendrait constructible avec des droits à construire calculés sur la totalité de la parcelle y compris la partie en « Espace boisé classé », incluse dans le « Périmètre de protection de la Forêt », constituant une illégalité manifeste. Par ailleurs cette porte sur la forêt (ancienne Porte aux Vaches), à la descente du train, est déjà fortement menacée par les projets sur le plateau de la gare.
La zone située en « Espace boisé classé » doit être exclue du secteur Ufa.
IV -- Axe Économique
Cela concerne les Boulevards Roosevelt et Leclerc, jusqu’au Carmel, et la rue Aristide Briand jusqu’à Félix Herbet, tout proche de la place de l’Etape.
Ses justifications
Elles paraissent davantage provenir d’une reprise de l’ancien POS que d’une réflexion.. Le seul justificatif en 4-1-3 du rapport de présentation n’est pas cohérent avec l’étendue du secteur puisqu’il indique « .. en développant le pôle de la gare et l’avenue Franklin Roosevelt comme axe économique ».
Nous notons que sur ce secteur le commerce est déjà monopolisé par le supermarché, que les commerçants de proximité ne peuvent survivre, que les services (banques, assurances…) sont déjà nombreux et que les stationnements sont totalement saturés.
Nous estimons en conséquence qu’une remise en cause de la notion d’axe économique s’impose pour éviter de dénaturer l’arrivée sur Fontainebleau qui fut belle et peut encore l’être. La coexistence de commerces, administrations, résidences-services et habitat peut se faire en respectant la qualité de vie des nombreux habitants.
Le CDAS demande la suppression de la notion d’axe économique.
V -- Hauteur et profondeur de construction
V.A Augmentation des hauteurs admises sur « l’axe économique »
Ce secteur autoriserait des hauteurs de construction jusqu’à 21m (6 à 7 niveaux) au lieu de 15m précédemment, ce qui est inadmissible.
Rappelons que cette zone s’étend de la gare jusqu’à la rue Félix Herbet, incluant la moitié de la rue Aristide Briand et la quasi totalité du Boulevard Mal Leclerc qui pourront devenir une zone urbanisée atteignant 5 à 6 étages (d’autant qu’aucun bâtiment n’y est protégé sur Fontainebleau ).
On notera que ces hauteurs sont admises pour des édifices publics ou d’intérêt collectif : « on n’exclut pas les opérations de logements ou…les équipements… même commerciaux » autrement dit tout bâtiment pourra être déclaré d’intérêt collectif et atteindre une hauteur inadmissible à Fontainebleau-Avon, comme le montrent les constructions des années 70 qui détruisent la cohérence du site et la qualité de vie de ses habitants.
Nous demandons une hauteur maximum de 15 m, ainsi qu’un recul de la voie pour maintenir à cette voie le caractère d’avenue, ce que les permis récemment octroyés n’ont pas respecté .
V.B Hauteur de construction en zone UAa et Uab
La totalité des rues du centre urbain présentent des fronts homogènes de maisons de 3 à 4 niveaux, soit des hauteurs de 13 à 15m. Des immeubles de 18m dénaturent l’alignement des rues (voir 49 rue Aristide Briand, 13 au 15 rue de la Cloche, rue des Pins) sauf certains cas à des emplacements stratégiques (au centre de la Place de l’Etape et en angle de rue).
Nous demandons sur ce secteur historique le respect d’une hauteur maximum de 15 m.
V.C Profondeur des constructions
La profondeur des immeubles (en hauteur maximum autorisée ) est de 20m, cela ne correspond pas à la structure de l’habitat .
Nous demandons que cette valeur soit revue à la baisse, sauf lorsqu’un recul est imposé.
VI -- Protections
VI.A Protection « bâtiments de qualité architecturale »
Cette protection est d’un intérêt majeur mais elle concerne seulement 65 bâtiments, on constate que de nombreux bâtiments ne sont pas repérés :
• les deux édifices Monuments Historiques ( Pompadour, Porte de Ferrare ),
• la plupart des édifices ISMH - liste supplémentaire Monuments Historiques –,
• un grand nombre de bâtiments considérés comme « remarquables » dans l’ancien PLU (où près de 400 bâtiments étaient référencés ).
Nous avons établi - en annexe - une liste de 240 bâtiments qui sont de qualité architecturale indiscutable
Nous demandons que les bâtiments de cette liste soient intégrés au PLU
Par ailleurs, la portée de la protection de ces bâtiments doit être renforcée.
Nous demandons la suppression de la phrase « Des démolitions ….. et à l’utilisation.»
VI.B Protection « ensemble urbain »
Cette protection des ensembles urbains de qualité (les alignements des rues anciennes ) est inexistante, « leur démolition… pourra être refusée », c’est à dire que la règle de base est que leur démolition est autorisée; il est donc indispensable de définir leur protection au même niveau que celle des bâtiments.
Nous demandons que ces ensembles urbains soit protégés comme les immeubles : « la suppression des ensembles urbains anciens … repérés est interdite »
On note que parmi les ensembles de façades présentant le même degré d’intérêt, certains sont repérés et d’autres non.
Il s’agit de :
• l’îlot rues des Sablons / Paroisse / Conventionnel Geoffroy, (ensemble homogène de maisons 17ème siècle, signal fort vu du marché et de la rue des Sablons),
• rue de France : une section n’est pas incluse du (59b au 69) alors que ces immeubles s’inscrivent en parfaite continuité de la rue,
• la rue Béranger : côté pair du 34 à l’angle de la rue des Bois : maisons bourgeoises début et mi 19ème (maison début 18ème au 46 ),
• la rue St Merry : des bâtiments ne sont pas inclus alors que leurs constructions s’inscrivent en parfaite homogénéité de la rue : une partie du 42 et le 44, les 177 à 181, et du 96 au 114 ( alignement de belles maisons bourgeoises 19ème siècle),
• la rue Marrier : côté pair du 8 à l’angle de la rue d’Avon : ensemble très homogène début 19ème ( hôtel au 8, façade remarquable au 22 ),
• la rue Auguste Barbier : du 10 au 40 (prolongation des petites maisons rurales avec venelle répertoriée, puis maisons bourgeoises) et du 29 au 43 : au 29 hôtel particulier dans le style des échoppes bordelaises, du 37 au 41 maisons bourgeoises construites par Jules Viatte vers 1900, au 43 belle maison 16ème
• la rue de la République : côté impair du 1bis au 25 : ensemble homogène de maisons de ville construites vers 1900 (à noter façade du 1bis classique et des 25 et 31 : Art Nouveau ).
Nous demandons que ces ensembles urbains soit intégrés au PLU.
VI.C Protection des Espaces Verts
VI.C.1 Les Pleus
la zone des sources, voir en III.B
VI.C.2 Liste complémentaire d’espaces verts
Les espaces verts repérés sont repris en totalité du POS ancien, déjà à l’époque nous avions fait part de nos réserves car quelques espaces verts clairement constitués n’étaient pas repérés :
• Bvd Magenta : esplanade entre halles à fourrages et boulevard
• Bvd Magenta : parc derrière la Porte du Tambour
• Îlot rues Grande/ de la Cloche / Béranger / des Bois (la figure 3 montre le panorama sur cet espace vert et le plan avec la zone en vert qui doit être protégée)
• Îlot rues des Provençaux / Charles-Auguste Comte / République / Théodore Rousseau
• Les Lilas : centre de l’îlot
• Îlot rues Saint Honoré / Saint Merry / Durand (sur secteur Ubb)
• Îlot rues Saint Honoré / Saint Merry / Fleury en totalité, ( 2 parcelles actuellement)
• Îlot entre rues Sylvain Colinet et Guérin
Nous demandons que cette liste soit intégrée au PLU.
VII. Observations concernant le Rapport de Présentation
chapitre III : « Analyse des incidences notables prévisibles de la mise en œuvre du plan sur l’environnement et conséquences éventuelles de l’adoption du plan »
VIII.A Secteur 2 Bréau et secteur 5 Chataux et Damesme
Dans les rappels des principales modifications ce chapitre introduit comme un fait acquis le transfert de l’hôpital au Bréau et la reconversion des emprises Chataux et Damesme où une étude de programmation et d’aménagement est en cours.
Le CDAS s’oppose au transfert de l’hôpital et propose sa reconstruction sur le site actuel en profitant des larges possibilités apportées par les deux casernes qui seront disponibles
. En effet le développement d’un complexe hospitalier au Sud du Château est une aberration urbanistique et culturelle. Ce secteur n’est relié à la ville que par le goulet étroit de la rue Séramy (rue du Parc) ou en contournant le parc par l’Obélisque et son carrefour surchargé. Si la ville ne s’est pas développée dans cette direction c’est précisément parce que le château et le parc s’y opposent. Cette situation est historique : c’est la façade du château sur la forêt qui est à l’origine du château et de la ville.
Envisager le développement d’un équipement de cette nature par delà la route des Cascades, c’est donc aller contre le sens de l’histoire, avec tous les désordres que cela occasionnera, c’est aussi aller contre la politique de réintégration et de mise en valeur du Domaine mise en place par le Ministère de la Culture.
Qu’en pensent les bellifontains ? bien peu sont partisans de ce transfert.
Pourquoi ne pas les interroger sur ce sujet critique pour l’avenir de la ville ? ( référendum)
Nous demandons que le transfert de l’hôpital au Bréau et la reconversion des emprises Chataux et Damesme ne soient pas mentionnés au PLU, sauf si la population s’était prononcée pour.
VIII.B Secteur 4 Emprise Magenta
Cet article introduit sans aucune justification préalable la réalisation d’un parking provisoire. Outre qu’elle ne soit pas justifiée, une telle réalisation vient en contradiction avec les objectifs fixés lors de l’aménagement de la zone, et augurerait mal de l’avenir des halles à fourrage.
Enfin on s’étonne qu’une réalisation provisoire trouve sa place dans un PLU, document qui est défini pour réglementer l’espace urbain sur 10 à 15 ans.
Nous demandons que l’aménagement d’un parking provisoire sur le secteur Magenta ne soit pas mentionné au PLU.
VIII.C Architecture
Au chapitre IV.1.5 «
Fontainebleau-Avon un lieu d’attraction touristique. Les moyens d’y parvenir … en faisant émerger une architecture contemporaine…
»
Nous récusons cet article où la Communauté urbaine Fontainebleau-Avon fait sien le vœu de la Direction des Affaires Culturelles selon lequel la préférence doit être donnée aux projets d’architecture dite innovante.
Cette dictature du geste fatal est en contradiction avec l’idée de protection édictée dans les règlements de protection : abords des Monuments Historiques, Zones de Protection du Patrimoine Urbain et Paysager, etc. Ainsi est mise en place une politique schizophrénique de démolition du patrimoine urbain par ceux-là même qui sont chargés de le protéger. Cette violence ordinaire faite aux habitants attachés à leur cadre de vie, même s’il n’est pas répertorié comme remarquable, est esthétiquement injustifiée et moralement critiquable. Elle ne peut mener qu’à des conflits et des recours préjudiciables à la vie de la cité. Le projet de cinéma face au Jardin de Diane en est l’illustration.
N
ous demandons la suppression de cette disposition érigée en principe ( suppression de la phrase
« en faisant émerger une architecture contemporaine…. qu’elle portera »
)
VIII . Divers
1. Les ouvrages techniques apparents doivent être interdits, cela est également valable pour les climatiseurs, les câbles (électricité, téléphone…), les boîtes de raccordement, etc.
2. L’aqueduc François 1er, porté sur l’ancien POS, a été oublié dans sa section finale (sous le bâtiment des impôts et les écuries )
3. Le secteur UFp (N/E de la Faisanderie ) n’est pas défini dans le règlement
4. On est surpris de trouver des servitudes aux abords des champs de tirs (n’ont-ils pas été désaffectés ?) .
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